Avis, idées, tutos, ... utiles (ou pas), sur tout, sur rien, et sur n'importe quoi

Comme beaucoup de développeurs, quand on extrait des logs, on se retrouve avec une donnée au format 'long' pas franchement lisible.

Le timestamp unix est le même que le timestamp java, à un ratio de 1000 (unix : timestamp à la seconde, java : timestamp à la milliseconde)

La formule miracle pour convertir cette donnée numérique en date :

unix :
(#cell / 86400) + 25569 + (fuseauGMT / 24)
java :
(#cell / 86400000) + 25569 + (fuseauGMT / 24)

n'oubliez pas de forcer le type de cellule excel à 'date'.

Menu du soir : risotto, avec ce qui traine au frigo (c'est pour la rime).

Ingrédients :
- 2 oignons (blanc ou rouge)
- De la poitrine tranchée en lardons
- Riz complet
- Carottes
- Cuisses de poulet
- Un fond de vin blanc (qui trainait vraiment au frigo...)

Commencez par lancer la cuisson du riz dans de l'eau salée. Le temps de cuisson du riz complet dépend de la variété, comptez 30-35 minutes pour les plus longs.


Préparez vos ingrédients : émincez les oignons, coupes les carottes en tranches fines (vive la mandoline), vous pouvez également retirer la peau des cuisses de poulet si vous préférez.


Faites revenir les lardons à la poêle, et réservez les.


Faites revenir les oignons dans de l'huile, puis ajouter les carottes. Après 2 ou 3 minutes, ajoutez le vin et laissez réduire et évaporer l'alcool. Disposez les cuisses de poulet, les lardons, et recouvrez avec le riz dont la cuisson doit être bien avancée, et arrosez avec l'eau de cuisson du riz pour éviter que le fond attache. Salez, poivrez, vous pouvez rajouter du thym également.


Laissez mijoter 45 minutes, jusqu'à ce que le poulet soit fondant à cœur.

Comment, scientifiquement, des personnes sans flux sanguin, sans apport énergétique, peuvent continuer de se mouvoir et de dépenser une quantité astronomique d'énergie au vu de leur puissance ?

(ceux qui pensent que publier un article avec les mots clés 'twilight' + 'Edward' + 'Bella' + 'vampire', est une vaste tentative de faire monter la fréquentation d'un blog, je leur répond : ca met 2 jours mais... oui ca marche : )

Voici des tentatives d'explications. Tout d'abord, la transformation décrite dans le tome 4, et l'apparence général des vampires. Je ne parle pas de choses subjectives, comme la 'pâle beauté', mais plus des effets sur la physionomie. Musculature bien dessinée, pas de masse graisseuse superflue...

On peut donc imaginer que le venin consomme toutes les matières dont il n'a pas besoin au sein du corps de l'hôte. On garde a priori l'essentiel :
- le squelette (renforcé)
- les schémas nerveux / le cerveau / les sens (améliorés niveau rapidité et efficacité (vision, audition, ...))
- les muscles (qui sont modifiés et renforcés)
- la peau (endurcie)
Et on enlève le superflu :
- Masse graisseuse
- Aliments, système digestif, excréments
- Système sanguin (d'où l'arrêt du cœur, toujours présent, mais sans rien à faire circuler) (un vampire ne saigne pas)
- Système régulateur de température (corps froid, pas de transpiration)

Bon, attaquons les problèmes principaux du raisonnement :
- 'Vivre' sans circulation sanguine pour diffuser l'énergie
- Source d'énergie : issue du sang des victimes ? Au vu les dépenses énergétiques des vampires
- Questions existentielles : Comment Edward peut-il honorer Bella sans système sanguin pour gonfler les corps caverneux de son engin ? (Si, si, c'est une question importante). Comment peut-il générer sa semence sans apport d'éléments nutritifs jusque là (même s'il ingurgite des nutriments via le sang des victimes, il n'a pas de système sanguin propre pour les amener jusqu'aux testicules et générer ce qu'il faut...) ? Les vampires ont-ils les cheveux qui poussent, et si c'est le cas, avec quelle source de matière ?

Or donc, sans cœur qui bat ni système sanguin pour transporter l'énergie, comment le vampire peut il 'vivre' (si ce terme peut s'appliquer à cet état, tout au moins, le vampire est conscient et se déplace, donc on peut le considérer comme vivant). Au niveau de la transformation initiale, le sang contenu dans les cellules donne une force relative au jeune vampire pendant environ un an. Ensuite, le vampire absorbe du sang de ses victimes, humaines ou animales, ce qui lui donne son énergie.

Combien de temps un vampire peut-il vivre sans boire de sang ? Bonne question. Même Carlisle ne s'est pas retenu plus de quelques semaines. Impossible donc de supposer le rapport exact d'énergie apporté par litre de sang, ni la consommation réelle d'énergie du corps d'un vampire.

Les éléments du corps 'humain' sont consommés, le vampire ne rejette pas d'excréments, donc l'ensemble des éléments initiaux, et tout le sang qu'il absorbe, sont 'consommés' intégralement, et convertis en énergie. Ça ressemblerai donc à une conversion de la masse de ces 'carburants' en énergie pure, sans déchets.

Donc l'énergie est issue de la désintégration du sang des victimes. Mais ça ne marche pas avec les autres éléments nutritifs. Admettons.  L'énergie générée par le venin qui consomme le sang ingurgité est donc diffusée dans le corps. Sans système limbique, c'est donc une communication 'de proche en proche' de l'énergie de cellule en cellule, pour alimenter toutes les cellules du vampire. Le sang initial consommé lors de la création du vampire, lui, assure des réserves propres aux cellules qui lui donnent ce pouvoir supérieur la première année de son existence, mais par la suite, c'est bien l'énergie des repas qui est nécessaire pour alimenter le corps.

Cette communication d'énergie est intéressante, mais ne permet pas, a priori, de transfert de matières nécessaires aux fonctions autres que le mouvement : génération des cheveux, des spermatozoïdes, etc...

Conclusion, on peut donc expliquer une partie du fonctionnement du corps d'un vampire, sans toutefois savoir comment le venin consomme le sang en énergie pure. De plus, il reste de grandes inconnues sur les questions annexes...

Je précise, ce n'est pas une faute d'accord, mais un jeu de mot.. fondu, comme dingue de... bref, passons.

Donc, ce soir, poireaux au menu.

Pour cette fondue, pour 2 personnes :
- 3 poireaux frais
- 12cl de crème fraiche (ou de crème de riz, sans PLV)
- sel
- curry

Conservez la partie blanche et vert-pâle du poireaux, gardez la partie foncée des feuilles pour une soupe ou autre chose.

Coupez les poireaux en 4 dans la longueur, puis en tranches fines (1cm environ). Faites réduire et chauffer 5-6 minutes dans une poêle avec un filet d'huile, puis ajoutez un fond d'eau et de sel pour que le poireau trempe et cuise à petits bouillons. Couvrez et laissez mijoter 10 minutes environ.

En fin de cuisson, enlevez le trop-plein d'eau, ajoutez la crème fraiche (ou la crème de riz), et une bonne dose de curry, mélangez pour obtenir une sauce épaisse.

C'est prêt.

Cette fondue se marie particulièrement bien avec un pavé de saumon...

Ce soir, chou.

Pour changer du chou romanesco en tiges, cette fois, purée. Préparation à peine plus compliquée, et qui passera sans doute plus facilement auprès des enfants difficiles.

Pour 4 adultes :
- 1 gros ou 2 petits choux romanesco
- 3 grosses ou 6 petites pommes de terre

Préparer le chou, en découpant les tiges du tronc central. Gratter les peaux qui dépassent sur les tiges, et rincer le choux à l'eau. Éplucher les pommes de terre, les rincer, puis les couper en dés grossiers pour accélérer la cuisson.

Le chou comme les pommes de terre : 10 à 15 minutes à la vapeur. C'est cuit quand la pointe d'un couteau traverse sans effort.

Presser ensuite l'ensemble au presse-purée dans un plat, délayer avec du lait (ou du lait de riz si vous travaillez sans PLV).

Astuce 'plus' : ajouter une grosse cuillère à soupe de moutarde à l'ancienne (pas trop forte), dans la purée, ca balance le gout du chou, et le résultat est assez original.

Pas un gros challenge cette fois, mais une petite envie de chocolat.

Ingrédients :
- 300g de chocolat
- 150g de farine
- 100g de matière grasse végétale
- 100g de sucre en poudre
- 2 œufs
- 300ml de lait de riz
- 7g de levure chimique

Faites fondre le chocolat, réduit en morceaux, avec la matière grasse (2 minutes au micro-ondes, puis mélangez pour bien fluidifier le chocolat). Ajoutez ensuite la levure, le sucre, et la farine. Vous obtenez une pâte compacte.

Cassez les œufs, ajoutez le lait de riz, et mélangez le tout pour obtenir une texture fluide.

Vous pouvez rajouter à la pâte des copeaux de chocolat, des noisettes concassées, ...

Passez ensuite le tout au micro-ondes pendant 5 minutes (si dans un plat unique, 3 minutes pour des muffins de petite taille).

Et voilà !

(le goût choco ressort mieux après quelques heures au frigo... )

Faire des crêpes, sans lait de vache, mais que ca reste bon ? Pas de problème.

Ingrédients :
- 500 g de farine
- 1 L de lait d'avoine / lait de riz
- 4 œufs
- 3 g de sel
- 5g de sucre vanillé (facultatif)

Mélangez le tout, soit avec un robot, soit à l'aide d'un mixer plongeant (mixer à soupe). Laissez reposer 5 minutes, puis cassez les grumeaux s'il y en a.

Et voilà !

Rien de meilleur que le pain sortant du four. Et c'est pas dur à faire soi même. Pétrir, c'est encore mieux que les balles antistress !

Ingrédients :
- 1 kg de farine
- 540 ml d'eau (si farine type 55 à 80, prévoyez 50-70 ml de plus pour de la farine type 110)
- 10g de sel
- 15g de levain ou de levure de boulanger
- Si levure, 10g de sucre en poudre pour balancer le goût

Mélangez l'eau et le sel (et le sucre si vous en mettez), puis incorporez grossièrement la farine. Ajoutez ensuite le levain ou la levure, puis mélangez et pétrissez la pâte jusqu'à obtenir une pâte qui ne colle plus aux doigts, mais qui reste malléable.

Laissez lever ensuite la pâte 1h30 au four, à 40°.

Retravaillez la pâte pour en faire sortir l'air (le CO2, en l'occurrence, venant de la fermentation de la levure), puis disposez votre pâte dans la forme souhaitée sur une plaque de cuisson (pour éviter que ça ne colle, saupoudrez de farine la plaque).

Laisser lever à nouveau 45min au four, à 40°.

Puis cuisson entre 20 et 25 minutes (selon l'épaisseur du pâton) à 175°.

Conseils / Astuces :
- Le sucre sert d'une part à balancer l'amertume de la levure de boulanger, mais facilite également la fermentation et accélère le levage.
- Si vous avez un four à chaleur tournante, désactivez la pendant le levage. La ventilation risque de sécher la pâte, et de former une croûte qui se craquèlera et sera pas super jolie à la cuisson.
- Pour conserver le pain plus longtemps, coupez le en tranches et passez le au congélateur. Pour le dégeler, une minute au toaster, et vous aurez du pain chaud à volonté. Évitez le micro-ondes : l'eau du pain congelé ressort du pain, et au micro-ondes, reste en surface et donne une apparence et un gout pas terrible. Le toaster sèche cette humidité.

Jamais pu trouver un truc correct dans le commerce, aux bonnes dimensions... Ou alors à un prix carrément indécent...

Comme on n'est jamais aussi bien servi que par soi même, pourquoi ne pas se le construire soi même ? Hop, direction Leroy-Merlin, pour acheter des tasseaux en pin, des vis, et plusieurs plaques de médium. Pour la couverture courbe, du 3mm, pour les étagères, du 10mm, et pour le plan supérieur, du 25mm. Nécessite pour faciliter le travail : une scie sauteuse, une ponceuse à bande, une visseuse, une perceuse.

Dans un premier temps, prévoir les dimensions et la forme globale du bar. Prévoir les supports en tasseaux sur la hauteur : 2 à chaque côté , plus un central pour répartir le poids. Ensuite, relier ces tasseaux verticaux par des tasseaux horizontaux, pour stabiliser et supporter la planche supérieure, ainsi que les étagères.

Attention : pour éviter que les tasseaux n'explosent lors du vissage, pré-percez les trous des vis (avec un mèche un peu plus fine : ex : percez en 3mm pour une vis de 4,5 mm) !

Sur l'exemple photo, j'ai rajouté un retour 'droit' de 20cm, j'ai donc profité pour solidifier le squelette du bar sur ce retour.

Ensuite, viennent les planches intermédiaires : tracez puis découpez les planches pour obtenir les étagères ainsi qu'une pré-planche supérieure, toutes aux mêmes dimensions. La planche supérieur sera trop souple, mais elle est nécessaire pour que toutes ces planches puissent accueillir la garniture souple du bar.

Une fois les planches découpées, assemblez les (au serre-joint par exemple), et utilisez une ponceuse à bande pour égaliser les courbures de toutes ces planches.

Prévoyez pour les planches internes (pas celle du dessus qui sera fixée par dessus le tout), des découpes pour venir encastrer ces planches entre les montants verticaux du squelette. Vissez les planches aux tasseaux horizontaux pour rigidifier la structure (pensez à pré-percer !)

Ensuite, on vient fixer la garniture extérieure. Une grande planche de médium 3mm, relativement souple donc. Vissez aux extrémités, le long des tasseaux verticaux. Pour rigidifier l'ensemble, on peut ensuite clouer à intervales réguliers la garniture aux étagères.

Enfin, découpez dans une partie épaisse de médium/plan de travail, un arc de cercle. Le rayon intérieur sera le même que pour les étagères, mais pour le rayon extérieur prévoyez 5 à 10 cm de plus, pour déborder au delà de la garniture.

Ensuite, bouchez les trous des vis avec de la pâte à bois ou de l'enduit de rebouchage (attention, le médium boit pas mal l'eau, un enduit trop liquide peut donc abimer l'aspect des planches de médium).

Ensuite, poncez (à la main pour avoir un rendu potable sans risquer de tout bousiller) les angles, les découpes, et l'enduit, pour obtenir une surface lisse et propre.

Il ne reste ensuite qu'à peindre l'ensemble, et à venir poser ce nouveau meuble à sa place définitive.

Bilan de l'opération :
- 2 planches de médium 10mm pour faire les 3 étagères + la planche supérieure
- 1 planche de médium 25mm pour le plan de travail
- 1 planche de médium 3mm pour la garniture courbe
- des tasseaux de pin en 30*30 pour le squelette
- une boite de vis

Soit environ 70€ de fournitures. Comptez 5-6h de travail si vous avez les bonnes habitudes et les bons outils, un peu plus sinon, pour la partie bricolage. Ensuite, le temps de peinture/séchage dépend de vos choix.

La majorité des assurances sur les crédits immobiliers utilise un taux 'fixe' d'un bout à l'autre de la période de remboursement. Ce qui veut dire qu'au début, quand il vous reste tout à rembourser, ou le dernier mois, quand il ne reste quasiment rien, vous payez la même assurance, calculée sur le montant initial et non sur le montant restant à chaque échéance.

Pour autant, l'inverse n'est pas forcément idéal. En s'adaptant, les assureurs risquent fort de changer leurs taux, et sur la durée totale du prêt, vont s'y retrouver. Mais pour le client, le taux initial étant plus élevé, ca veut dire un coût plus important au départ, donc moins de remboursement du capital , donc allongement du prêt et augmentation des intérêts et du coût total.

Le calcul n'est donc pas forcément simple. Mais si on tombe sur un banquier conciliant (et qui soit motivé, ce qui devient rare, à ne pas proposer la formule 'bateau' sans réfléchir), et qui sache un minimum se servir de ses outils informatiques (ce qui est assez rare également), on peut faire une économie conséquente de façon pourtant simple.

Prenons un cas exemple. On emprunte 100000€ sur 10 ans. Imaginons une assurance de 0.12% par an, soit 120€ par an, on va se retrouver avec 10€ par mois d'assurance sur le prêt. Coût total de l'assurance sur la durée du prêt : 1200€.
Maintenant, imaginons scinder ce prêt en 2 prêts, de durées différentes. Par exemple : 40000€ sur 5 ans, et 60000€ sur 10 ans. On rogne un peu le taux du premier (durée plus courte, taux plus faible, en général). On module le second prêt, pour que pendant les 5 premières années, on ne rembourse que les interêts, et très peu de capital, et qu'on rembourse plein pot une fois le premier prêt terminé. En se débrouillant, on peut retomber sur un coût global du crédit équivalent. Côté assurances, voilà le topo : 0.12% par an, soit 48€/an pendant 5 ans pour le premier prêt, et 72€/an pendant 10 ans pour le second. Au total : 48*5+72*10 soit 960€ de coût total de l'assurance.

Attention, si à vue de nez, on économise ainsi 20% du montant de l'assurance, il faut TOUJOURS comparer le coût total du crédit+accessoires ! En effet, deux lignes de prêt peuvent être facturées comme 2 opérations distinctes par votre banque, donc un paiement double des frais de dossiers. De même, la modification du second prêt peut engendrer un coût en intérêt plus élevé, et au final ne pas être rentable par rapport au gain de l'assurance.

Pour ma part, je suis tombé sur un banquier génial, qui nous a fait économiser 2 ans de remboursement par rapport à la proposition 'bateau' de la banque, et avec en prime une économie de quelques milliers d'euros en assurance avec cette 'combine'.

Comparez toujours le coût total avec accessoires, et méfiez vous des taux variables. Et si votre banquier ne semble pas motivé pour adapter le prêt, bottez lui les fesses ! C'est son métier, pas le vôtre, de prêter de l'argent. Les banques ne sont pas uniquement là pour payer leurs traders avec notre épargne !